Ha cette merveilleuse femme, fine, brune, cette peau délicieuse au grain très fin était une œuvre d’art ! Elle avait vécu des moments difficiles, des histoires conjugales faites d’obligations et de dénigrations. Sa propre remise en question avait failli la perdre.
C’est à ce moment que je l’écoutais. J’adorais l’écouter. Elle aimait parler et quand elle parlait, elle bougeait délicieusement son petit pied. Il était merveilleux avec de délicieux orteils, une plante du pied et une cheville très fines et laissait imaginer sous le pantalon des jambes interminables finissant sur des hanches et un ventre sans commune mesure.
Je lui donnais ma main à chaque fois qu’elle parlait. Elle me la serrait pour me remercier. Je lui donnais des conseils pour mieux avancer et je serais là pour l’écouter si elle avait besoin. Cela dura des mois mais son ex-conjoint finit par sortir de sa vie.
Au fil des conversations, je me rapprochais d’elle et elle de moi. Puis un jour, nous franchîmes le pas. Nous devînmes amants, folies de l’instant où nos âmes passionnées prirent le dessus, corps à corps brûlants. Nous étions bien et je pus jouer, embrasser, goûter à ses mains, ses pieds merveilleux, ses mollets, ses bras puis remonter le long de chacun de ses membres pour fusionner ensemble dans cette brûlante passion.
J’aimais sentir ses seins se tendre, son ventre palpiter, ses fesses s’arcbouter dans nos étreintes jusqu’à cette jouissance commune.
Mais elle aimait que je masse et lèche, embrasse ses mains et ses pieds. Elle me demanda une nuit après nos ébats le pourquoi. Elle s’était renseigné sur internet et me demanda si j’étais fétichiste ? Si je pouvais aller plus loin dans ce domaine sachant qu’elle était totalement novice et moi aussi. Elle savait qu’elle était ma muse car j’écrivais des textes enflammés en sa présence ou en pensant à elle. Mon esprit voyageait à travers les mots avec elle.
Nos jeux sexuels devinrent encore plus brûlants dès ce moment. Nous nous attardions dans le massage de ses extrémités, le baiser de ses mains et ses pieds. Le toucher de nos corps embrasait notre passion. Le cunnilingus fut encore plus apprécié, le face-sitting devint plus présent. Nous finissions nos nuit, enlacés et le matin, le feu reprenait.
Nos jeux devenaient de plus en plus fous jusqu’au jour où elle me banda les yeux et m’attacha sur le lit. Elle joua longuement et sa jouissance fut grande. Elle se découvrait et commençait à casser les barrières conventionnelles pour apprécier ses jeux de domination. Tout ceci était d’un commun accord.
Folies des instants, perte de contrôle de ma part, commandements et demandes de plus en plus folles ? Une nuit, nous avions bu trop de champagne et lors de nos ébats, j’étais attaché. Elle me dit que j’étais à elle L’intensité de l’instant nous mena encore plus loin dans notre passion. Ma merveille des merveilles, je t’aime, tu le sais, tu es ma Muse Dominatrice.
Nous recevons très rarement des mails « corrects » de la part d’hommes, alors quand c’est si bien écrit on ne peut que publier ! Vous avez beaucoup de chance d’avoir rencontré votre muse. Votre dévouement est très plaisant à lire.